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Plus de violence

Tu ne voulais pas quitter ton enfance Avais-tu alors deviné Qu'au seuil de ton adolescence on viendrait alors t'arracher Dans la violence et la souffrance Ta vie, ton droit d'exister. De là haut, mon petit ange Viens nous guider, nous éclairer Afin que cesse cette tolérance Envers ceux qui veulent tout contrôler Et pour qui n'a aucune importance Le respect des êtres à leur côté. Comment dire à tes petits amis Qu'ils ont le pourvoir de changer la vie Il suffit d'apprendre à aimer Ne pas vouloir tout contrôler, dominer Que chacun a droit au bonheur Même si on ne porte pas tous les mêmes couleurs. Comment dire aux hommes qui ferment les yeux Sur ce qui est trop dérangeant pour eux Que celui qui a l'air si charmant Porte parfois un masque Et que très souvent à l'arrière plan Des gens souffrent et n'ont plus leur place. Comment dire à la société Qui trop facilement se permet de juger Trouvez plutôt des solutions pour protéger Femmes et enfants qui doivent toujours payer Cessez de vous limiter à leur dire de s'en aller Faites des lois pour les protéger De celui qui ne cesserait de les persécuter.

A celui ou celle
qui aura eu le courage d'aller jusqu'au bout de ce petit texte,
je demande de continuer en lisant ceci :

Prends le temps de bien réfléchir sur ce petit texte car tu ne sais pas si demain peut-être,
ce sera ta soeur, ta voisine ou encore pire ta fille qui aura envie de te dire ceci.
Personne n'est à l'abri. Ce n'est pas un sort réservé aux sans abris.
Non, plus le problème est camouflé par l'argent, plus il est grand.
Plus l' homme possède de sous, plus il est protégé par la société de ses gestes de folie.
Plus l'homme possède de sous, plus la femme se sent oubliée dans l'enfer qui lui est imposé
car elle n'ose démasquer ce que tous admirent comme une réussite de la société.
Non ! C'est elle qui doit s'humilier à laisser étaler une infériorité non méritée
mais qu'on lui a programmée.
Tous les jours nous fermons les yeux sur cette violence et pire, on l'excuse par la maladie
et encore pire, par la provocation de la femme.
Oui ! tous les jours on ferme les yeux jusqu'au jour ou cela arrive dans ta cour.

Céline, guidée par Cyndy