Tes petits bras sont potelés,
Et tes deux mains sont fuselées.
Toi, mon enfant, toi mon bébé,
Je ne sais que te caresser,
Te cajoler, et te garder.
Tu as un sourire rieur,
Et ce sourire est le vainqueur,
Lorsque je te tiens sur mon cœur :
Mon petit, mon enfant, ma fleur.
Je ne suis qu ‘amour, sans erreur,
Et si je t’écris ces quelques vers
Pour te bercer, au moins j’espère
Que toi, Tu voudras bien me faire
Un gros câlin, à moi ton père à
moi ta mère
Un très gros baiser, à ta mère.
à ton père.
Parfois tu pleures, et je sais bien
Que le plus souvent, ça n’est rien,
Mais tu es un petit coquin :
Tu sais y faire ! Et puis tu tiens
Dans mes bras, petit malin.
Tout à l’heure, tu t’endormiras,
Alors, très, très loin tu seras ;
Et dans la nuit, tu rêveras.
Lorsque tu te réveilleras
Mon chéri, tu redeviendras
Mon tout petit bébé à moi. |